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 Zürich Volker aka Jan Volker

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Jan Volker
Sixième année
Jan Volker


Nombre de messages : 4
Date d'inscription : 11/08/2009

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MessageSujet: Zürich Volker aka Jan Volker   Zürich Volker aka Jan Volker EmptyMar 11 Aoû - 8:44

Zürich Volker


Informations Personnelles
Nom : Volker Schmöe
Prénom : Zürich Friedrich
Surnom : Jan, Deejay, Deej', DJ, Volk', Vodka
Âge : 16 ans
Date de Naissance : 26 Juillet
Orientation sexuelle : Hétérosexuel
Sang: Sorcier Sang-Pur

Lieu de provenance : Hamburg - Allemagne

Relation : Le père du jeune allemand ce nomme Mark Volker et sa femme, Johana Schmöe, est malheureusement décédée depuis maintenant 16 ans. Zürich a également une soeur aînée, Monika, qui est présentement mairée. Celle-ci a quittée le domicile familliale depuis déjà fortes années et elle vit maintenant avec son époux, Ulrich, un prospère homme d'affaire, à Frankfurt. La famille de la jeune femme n'a reçu aucune nouvelle des nouveaux mariés depuis que ceux-ci se sont établie à Frankfurt, ce qui ne peine pas énormément les deux hommes de la maisonnée; Mark et Zürich. Le jeune Volker à également un cousin, étudiant à Poudlard, Jens Schmidt, qu'il voyait de temps à autres lorsqu'ils étaient jeune et qui est une des personnes avec qui il se tient le plus à Poudlard. Il passe également énormément de temps avec Heinrich Zwanziger et Bernd Hitzlsperger, tout deux étant ses amis d'enfance.

Informations académiques
Maison: Serpentard
Niveau Scolaire: 6e
Cours préféré : L’astronomie
Baguette : 35 cm ~ Amandier ~ Poussière d'Or

Caractéristique
Physique : Jan est très loin de remporté le record mondial pour la plus haute taille. En effet, ce jeune homme encore en croissance ne dépassera jamais les 5pi2 1/2. C'est un petit homme, certes, mais il ne faut pas juger la force de quelqu'un uniquement sur son apparence, car justement, ce petit bonhomme pourrait fort vous surprendre. Il n'est pas le plus grand, il n'est pas le plus bronzé, mais il a quelque chose d’autre : des yeux d’un rare éclat, à la fois bleu et vert. Ses courts cheveux blonds qui mettent en valeur la prunelle de ses yeux le place en bonne position pour être un "allemand model" (blond aux yeux bleu). Sa figure, de forme ovale, présente des traits bien dessinés que Jan cache parfois sous un bandeau noir, car il ne veut pas se faire aimer pour son physique, mais bien pour sa qualité d'être humain. Également, après les nombreuses heures qu'il a consacré à ses arts du combat, sa musculature s'est développer en une musculature fine qui paraît à peine, ce qui est le contraire du résultat espéré par le père, mais ceci est à suivre dans le récit de son histoire. C'est seulement quand il enlève son gilet qu'on peut voir les résultats, et ce n'est certainement pas lui qui va toujours faire cela! Intérieurement, Jan est un asthmatique grave. Lorsqu'il fait du sport (surtout cardiovasculaire), qu'il mange trop de mauvais aliments, qu'il subit une importante variation de température en peu de temps, qu'il ait trop chaud, qu'il respire de l'air trop froide (il porte un bandeau pour réchauffer l'air qu'il respire) ou qu'il fait un gros effort suivit d'un arrêt rapide, il risque une crise d'asthme. Il lui arrive fréquemment des petites crises qui passe après quelques minutes, mais il lui arrive aussi d'être inapte pour des heures ou alors qu'il ait besoin d'une dose de son médicament pour s'en sortir. Mais Jan étant Jan, il est rare qu'il va parler de son "petit" problème à quiconque. La seule manière de le savoir, c'est d'être à ces côtés lorsque cela ce passe ou de le voir prendre ses deux gros cachets (médicaments) chaque matin au réveil.

Caractère : La famille Volker étant Serpentard de génération en génération, Jan à hérité de plusieurs traits caractéristiques de cette maison. Rusé comme un renard, habile autant psychologiquement que physiquement, intelligent pas seulement en classe, rapide avec sa pensée et ses mouvements, sachant tiré le meilleur de chacune des situations, Jan est également un excellent menteur à la fois rancunier et impitoyable. S'il a quelque chose à dire, même quelque chose de méchant, il vous le dira. Pour cela il n'a aucune pitié. S'il vous l'emmerder, que vous faite perdre son temps, il vous le dira sans aucune hésitation. Également, Jan n'a jamais vraiment appris à pardonner si quelqu'un en qui il avait confiance lui faisait un coup bas. Ce n'est pas dans sa nature et ni dans celle de la famille Volker. Que voulez-vous ? Être élevé par des gens qui parlent dans le dos de leur propre amis, qui agissent comme si de rien n'était avec des gens qu'ils détestent et que tout de suite après, ils reparlent de ce quoi la personne à fait pour être autant détester. Jan croit bien que jamais ses parents (père, grand-parents, etc.) n'ont pardonné à quelqu'un qui avait fait un pas de travers. Mais la seule différence entre Jan et ses parents sur ce point, c'est que ses parents continuent de faire comme si de rien n'était. Quant à Jan, lui ne parle tout simplement plus avec celle-ci. Jusqu'à maintenant, cette situation ne lui ai jamais arrivé, mais si un jour elle devait se faire, vous voilà averti. Ce n'est pas un enfant de coeur. Mais malgré cela, lorsqu'on réussit à avoir sa confiance, ce qui n'est pas une mince tâche, il est le genre d'ami fidèle qui vous aidera toujours. Jamais au grand jamais il ne laissera tomber quelqu'un qu'il estime ou qu'il aime. Mais être son ami, ce n'est pas comme aller faire l'épicerie, ce n'est pas si simple, puisque Jan est du type anti-sociable avec les gens qu'il ne connaît pas. Ce n'est pas le gars qui va aller voir les autres et se mettre à parler de la pluie et du beau temps. Il reste silencieux. Que voulez-vous ? Quand il n'a rien à dire, il ne dit rien, voilà tout ! c'est aussi simple que ça. Mais il arrive des moments où on est tanné de rester assie et qu'on lâche son lousse. Pour Jan c'est pareil. Bien qu'habituellement il reste calme et ne parle pas énormément, d'autre fois il peut être du genre fou et dire n'importe quoi. Il possède les deux côtés de la médaille. Mais ce qui est bien dommage, c'est que sur cette charmante binette qui est la sienne, un sourire fendit son visage que très très rarement, mais lorsqu'il sourire sincèrement, on dirait que c'est yeux s'illuminent. En fait, la majorité des sentiments de Jan ressortent par ses yeux et non par son visage. À vous de savoir déchiffrer.

Ce qu’il aime : Ce que Jan ne peut se passer, c'est de sa liberté. S'il a une chose qui le met en rogne, c'est quand quelqu'un lui dit ce qu'il peut ou ne peut pas faire, quel chanceux avec un père qui fait exactement cela. Jan aime également les arts martiaux qui lui permettent de se défendre malgré son désavantage physique. Il aime également rêvasser, mais uniquement quand il est seul ou avec des amis. Ce qu'il aime, c'est de regarder le ciel et essayer d'y déchiffrer quelque chose. Pour finir, malgré sa maladie, Jan fume environ deux paquets de Weinfield par jour, cigarettes qu'il import d'Australie. C'est un fumeur chronique depuis des années qui s’est décidé de ne fumer qu’une cigarette ou deux en publique, mais quand il est seul, il fume cigarettes sur cigarettes. On comprend maintenant que malgré tous les traitements coûteux et tous les efforts qu'il reçoit des médicaux-sorciers pour atténuer sa maladie, que celle-ci soit encore présente et grave, mais grâce à ses médicaments spéciaux, il ne subit pas autant l'effet néfaste que cause les cigarettes à ses poumons.
Ce qu’il n’aime pas : Jan n'aime pas se faire dire quoi faire, comme il est mentionné un peu plus haut. Il déteste aussi s'ennuyer et n'a pas peur de le faire savoir aux autres lorsque c'est le cas, car il n'est pas un enfant de coeur quand il n'est pas d'humeur, et ne le cache pas. Jan n'aime également pas se faire brusquer. C'est bien une des choses qu'il déteste le plus. Ahh, cela, le rugby et les chiens. En fait, il exècre tout animal, la chouette était limite, et il ne souhaite que de pétrifier les oiseaux qui roucoulent toute la journée.

Histoire: « Cette canicule qui dure depuis maintenant près de trois mois est entrain de ravagé les cultures agricoles […] Aucune pluie à l'horizon, la température monte encore comme jamais auparavant à Hamburg […] dépasser de loin le record […] Pas besoin d'aller dans le sud ! […] (publicité) Besoin de protection ? Nous vendons la meilleur crème solaire enrichie d'oméga 3 pour seulement 30$ le tube ! Et nos piscines … […] Plusieurs problèmes de santé sont survenu durant cette canicule […] Taux d'occupation des hôpitaux à 300% ! Je vous le dis, prions Dieu, le monde devient l'enfer, le monde devient fou ! NOUS SOMMES […] » Voilà ce que faisait Mark Volker, alors que sa femme Johana accouchait à l'instant de son deuxième enfant dans les plus grandes misères du monde: il tournait les postes de sa radio. Il avait été retiré de la salle d'accouchement par cause de complications et le voilà qui attendait au milieu du brouhaha que fesait un hôpital à 300% de sa capacité. Il y avait des infirmières qui courraient partout, des lits tout au long des murs, des gens rentrés en douce pour profiter de l'air climatisé et bien d'autres encore. Mais lui, Mark Volker, était calme et il semblait que les problèmes du monde ne le concernait pas. Était-il impatient de voir son nouveau bambin ? Sûrement un tout petit peu, mais cet homme n'avait jamais eu le tour avec ces peluches roses qui braillaient sans arrêt. Lui, c'était plutôt dans les affaires qu'il performait. C'était même un miracle qu'une femme ait accepté de le marier, mais il faut le dire, c'était un mariage arrangé entre deux familles de sorcier Sang-Pûr qui voulait garder leur sang intact. Mark Volker descendait d'une riche famille de sorcier pûr allemande et sa femme, quant à elle, descendait d'une famille de sorcier pûr allemande avec un budget moyen, mais qu'importe. Les parents de Mark avaient choisi la famille Schmöe, car les sorciers Sang-Purs étaient rares de nos jours et encore plus une famille de sang-pûr allemande. Donc voilà comment l'histoire "d'amour" c'était passé: les parents Volker et Schmöe avaient arrangé un mariage et les enfants n'avaient pas eu droit à un mot dans cette histoire. À vrai dire, jamais ces deux personnes ne s'étaient aimées, Mark était un homme d'affaire orgueilleux, respectueux des règles et Johana était une bonne vivante quoique timide. Enfin, leur mariage remontait à longtemps et ils avaient déjà eu une fille, Monika, qui était rendu une grande fille déjà. Et la famille allait s'élargir dans quelque petit instant encore... Mais, malheureusement, on ne choisit pas dans quelle famille nous allons naître.

Car si le petit à naître avait eu le choix, il aurait sûrement choisi un autre sort que celui qui l'attendait, car Mark et Monika avait le même caractère: impérieux et catégorique. Tout deux aimant suivre les règles et être des gens "respectables". La seule personne qui aurait pu bien influencer le petit bambin allait mourir en lui donnant la vie. Eh oui, Johana, après de nombreux mois terriblement chauds avait commencé à avoir des problèmes avec sa grossesse et ces complications eurent raisons de ses forces, car il faut l'avouer qu'elle n'était pas très gaillarde, mince et fragile, elle succomba à la terrible épreuve que fut d'accoucher déjà à bout de force. Les médico-sorciers ne purent rien faire; Johana c'était laisser mourir d'épuisement. Heureusement, ou malheureusement dépendant du point de vue, les médecins réussirent à sauver le bébé qui était très fétiche; trop léger, trop petit, avec une trop grosse tête pour son corps, le nouveau petit Zürich dût rester plusieurs mois à l'hôpital pour acquérir la force de survivre sans aides médicales. Mais même à ce moment, ses poumons étaient souffrants. La canicule qu'avait subit sa mère durant les derniers mois de sa grossesse avait eu des répercussions irréversibles pour le petit gamin: il était asthmatique, et pas qu'un peu ! Bien sûr, les magiciens, ayant plus de pouvoir que les moldues, réussirent à atténuer sa "faiblesse", comme disait son père, mais sans pour autant la régler vraiment. Et voilà qu'ouvrant les yeux sur un tout nouveau monde, il aurait bientôt fait d'espérer que ce jour ne soit jamais venu et qu'il aurait préférer suivre sa mère, qui lui manqua terriblement tout au long de sa vie.

Mais un enfant étant innocent, comme tous autres en fait non ?, cela lui prit du temps avant d'avoir cette réflexion. Au début de sa vie, c'était un gamin remplit d'énergie qui aimait jouer dans la saleté et le sable, qui aimait les voitures miniatures, démesurément, mais pas pour les faire avancer, ce n'était pas son genre. Ce qu'il trouvait amusant, c'était de mettre le feu à ces voitures avec des dons magique qu'il avait sans s'en rendre compte, et étant un enfant riche il n'avait pas de mal à avoir une gigantesque collection de ces voitures !, et il adorait faire cette activité avec son cousin, Jens Friedrich Schmidt Schmoë durant les partys de Noël, les réunions de famille, etc... Il est vrai que sa mère, qui venait de la famille Schmoë, n'était plus mais Mark Volker, pour les apparences, avait quand même continué à participer à ces rencontres même s'il ne se sentait pas à sa place, et Monika non plus. Monika préférait les réceptions somptueuses que font généralement la famille de son père, avec les grandes robes de princesse et tous les bijoux et les diadèmes... Non, Mark et Monika de se sentaient pas à l'aise avec les Schmoë, famille modique qui ne pensaient pas à acheter des vins fins ou du caviar pour leurs petites fêtes, ce que Monika trouvait effroyable ! Mais pour Zürich, c'était tout le contraire. Avec les Volker il s'ennuyait à mourir, mais avec les Schmoë, en fait avec Jens, il s'amusait comme un petit fou, mais à vrai dire mis à part Jens, il n'aimait pas plus la famille Schmoë par contre chez les Schmöe il avait la chance de s’amuser alors que chez Volker, il était toujours tout seul et de surcroîts, toujours regarder de travers. Il était le maillon faible, un petit puceron que la famille Volker aimerait bien écraser pour garder intact leur "réputation", mais quel réputation ce dit Zürich ? Une réputation de famille affable et mesquine, une réputation de bourgeois sangsues... Et ils n'avaient pas totalement tort puisque le petit gars devait, depuis toujours, prendre 2 gros cachets d'une substance douteuse en plus de plusieurs coups de pompe chaque matin. Mais donc, Zürich préférait faire brûler des petites voitures ou alors courir nue comme un vers devant toute la famille Schmoë avec son petit cousin, de la boue partout sur le corps (xD).
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Jan Volker
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MessageSujet: Re: Zürich Volker aka Jan Volker   Zürich Volker aka Jan Volker EmptyMar 11 Aoû - 8:46

Et puis, quand Zürich eut quatre ans, Mark décida de mettre fin à ses visites aux Schmoë. Après une dispute à propos d'un détail insignifiant, les deux familles avaient décidé de ne plus ce parler. En fait, c'était une vieille rancoeur qui s'était installer depuis la mort de Johana qui avait croit d'année en année jusqu'à en arrivé à ce jour, où la goutte déborda le vase. Mark n'avait jamais pleuré sa défunte femme, les Schmoë lui en voulant pour ça, en fait c'était également tous les contraires qu'il y avait entre ces deux familles qui avaient mit fin à ce "semblant" de lien de famille. Mais, encore pour garder les "apparences" belles, Mark avait tout simplement dit, après une promotion douteuse, qu'il n'avait plus le temps pour des visites de famille et que entre son rôle de père, ses parents et son travail, il n'avait plus aucun temps libre, ce qui était vrai et faux à la fois... Mais ce n'est pas cela le plus important, mais les faits restent les mêmes; à partir de ses quatre ans, il fut très rare les fois où Zürich vit son cousin. Même que la prochaine fois qu'ils se verront sera lorsqu'ils iront tous les deux à Poudlard, mais cela était loin... très loin encore dans la petite tête de linotte de Zürich.

Pour jouer son rôle de père, Mark n'y manqua pas, même que dès qu'il put mettre son fils au jardin d'enfants, il le fit et donc le petit Friedrich, au lieu de s'ennuyer dans son grand manoir où résonnait le bruit de ses pas sur le marbre en écho sans fin dans le vide total d'une maison qu'on pourrait qualifier de sans vie, alla s'ennuyer dans un endroit modeste, comparer à ce que sont père aurait pu lui payer, mais celui-ci avait décider d'essayer de l'intégrer à la société inférieur, d'après les propres dires de M. Volker, pour qu'il voit de quoi la vie était fait. Ben oui ! Il allait totalement s'intégrer avec une bonne toujours à ses côtés pour répondre à n'importe quel de ses désirs d'enfant gâté de 4 ans. Également, en rôle de père, M. Volker acheta des petits animaux de compagnie à son fils, pensant que leur compagnie allait lui faire oublier son cousin Jens. Jan eu donc droit à un chat indépendant (et méchant), un oiseau au coucou horrible, un poisson rouge qui mourut la semaine d'après et deux chiens. Un petit chihuahua qui grognait comme un extra-terrestre quand on l’approchait et un bon gros berger allemand, nous pouvons voir alors à quel point le père peut être intelligent. Jan, à 4 ans ne savait pas les dangers que représentait cette grosse race de chien si on l'énervait trop. C'est pourquoi qu'un beau jour, tirant la queue au toutou endormi, le chien lui sauta à la gorge. Ce chien détestait les enfants. Jan passa quelques jours à Ste-Mangouste, les magiciens faisant disparaître toutes traces de morsure. Le petit gamin n'eut aucune séquelle mis à part une haine envers les animaux et une peur pour les chiens... Après cet incident, Mark renvoya tous les animaux et envoya son fils au jardin d'enfant tous les jours et un beau jour, s'ennuyant comme à son habitude sur une balançoire à laquelle il ne se balançait même pas, ressassant des moments de joies passés, un dénommé Heinrich lui proposa de jouer avec lui avec ses Tonkas. Haussant des épaules, il alla jouer avec celui-ci n'ayant rien d'autre de mieux à faire. Il eut bien fait, car dès ce moment, tous les jours, il jouait avec ce dénommé Heinrich et il retrouva le sourire d'un enfant heureux et innocent. Pour être innocent, il l'était quand il était jeune, le petit Friedrich ! Personne ne le battait. Petit, maigrichon, il ressemblait à une jeune pousse toute fétiche encore, et les autres plus robuste que lui... non personne ne le battait côté grandeur, il était incontestablement le plus minuscule ! Bien malgré lui.

Heinrich Zwanziger devint très vite son meilleur ami, puisque Zürich était sans copains. Son père, comme à son habitude d'homme d'affaire qui cherche les meilleures possibilités, il "étudia" la partie qu’Heinrich représentait pour son fils. Il "accepta", comme s'il en avait le droit, cet amitié simplement parce que Heinrich était un sorcier riche de sang-pûr de bonne souche. « C'est mieux que rien », comme l'avait si bien dit avec tact son père un jour. Mais son père pouvait bien en dire ce qu'il voulait, car Zürich était de nouveau vivant, ce qu'il n'avait pas été depuis trop longtemps à son goût. Un petit gosse de 4 ans avec un air de mort sur le visage, ce n'est pas naturel.

Durant sa 6e année d'existence, Zürich demanda une chose bien particulière à son père. Entre ses cours d'art martiaux, de violon, de langue française, anglaise, russe et allemande, de piano et de voilier, Zürich demanda à son père de prendre des cours de ballet. Mais attendez, ne soyez pas étonner. Zürich n'avait pas demander cela à son père simplement parce que le ballet l'intéressait, non. C’est son ami Heinrich qui l'avait, pour ainsi dire, ""inciter"" à prendre des cours avec lui puisqu'il était obligé. Le jeune Volker, voulant passer encore plus de temps avec Hein accepta de prendre les cours avec lui, mais la réponse du père fut toute autre; un refus catégorique. En fait, s'il n'y avait pas eu par un heureux hasard sa grand-mère paternelle dans la salle, il serait très probable qu'il n'eût pas eu droit à ces cours, mais voici ce qu'elle dit à son fils:« Ton fils (elle ne pouvait s'abaisser à dire "mon petit-fils") est atteint d'un mal qui l'empêchera de jouer toute sa vie au rugby ou tout autres sports masculin digne de ce nom (car elle trouvait les arts martiaux indignes). S'il désire tant faire une activité de femme, laisse le donc. Peut-être trouvera-t-il sa place parmi les collants. » Cette grand-mère, Zürich la détestait tellement, mais qu'importe ce qu'elle avait dit; le plus important c’est que le père accepta d'inscrire son fils aux cours de ballet. Choix qu'il regretta bien vite, car durant les cours, son fils fit la rencontre d'un petit garçon, à peine plus vieux que lui d'un an, nommé Bernd Hitzlsperger. Ce petit garçon, qui n'était pas élève mais bien fils du professeur, était en fait adopté par deux parents masculins. Deux homosexuels et pour une famille traditionnaliste comme celle des Volker, c'était tout un affront que l'un d'eux côtoie une personne de cette sorte, mais la famille se réconfortait en ce disait:« C'est le petit faible atteint du mal que sa mère lui a donné qui les côtoie. Ce petit est déjà sans espoir, une mauvaise influence de plus ou de moins, qu'est-ce que cela fait ? » Oui, Zürich était très aimé par sa famille, comme vous l'avez peut-être remarqué. Mais pour tout dire, Zürich malgré son jeune âge, commençait déjà à être un peu moins innocent et se rendait bien compte qu'il n'était pas heureux aux côtés de sa famille, qu'à vrai dire il détestait. Sa vraie famille, maintenant, c'était Heinrich et Bernd. Il peut enfin goûter à la vie avec eux après les nombreuses heures dans la prison qu'est sa demeure familiale.

Et pour le jeune Volker, les heures passées dans le manoir ressemblait à la vie d'un malfrat jeté à l’endroit ou le mot liberté est dérisoire. Prisonnier des mûrs de pierres de son enfance recouvert de peintures de grands peintres, prisonnier des fenêtres dont les vitraux jouaient le rôle de barreaux et où, être heureux est impossible même s'il en existe une illusion. Lui et ses copains, sûrement tous pas pour les mêmes raisons, décidèrent de construire une cabane. Une cabane aux trois. Ce n'était rien de très chic, une bonne vieille cabane, rustique, en bois, fait pas des gosses de 7-8-9 ans. C'était très loin du gros luxe auquel Friedrich était habitué, mais cette cabane construite par ses propres mains possédait quelque chose que le manoir ne pourrait jamais offrir; une liberté infinie. C'était SA cabane, SA maison, SA place, à lui, à Hein et à Bernd. C'est dans cet endroit qu'il vécu plusieurs évènements importants de sa vie: sa première brosse, qu'il fit vers 13 ans, son premier magasine masculin affectueusement appelé MagTetons, sa première cigarette et depuis il fume 2 pacquets de Weinfield par jour, son refuge après un mauvais coup comme le lançage d'oeufs sur des maisons moldues à l'Halloween avec Bernd, sa première rencontre avec le fait inévitable de l'amour (gracieuseté de Hein, voir plus tard) et également sa première grosse crise d'asthme à 14 ans, mais tout cela se passera plus tard... Mais au moment précis où il regarda ses bouts de planches juxtaposés pour faire un semblant de cabane dans un arbre, Zürich se sentait fier et en plus d'avoir une nouvelle famille, il avait maintenant une nouvelle maison qui allait être témoin de plusieurs étapes de sa vie. Pour une des premières fois de sa vie, il se sentait fier et libre, sentiments pour lesquelles depuis se jour il se battra. Après y avoir goûté une fois, le gamin de 7 ans ne se laisserait plus jamais marcher sur les pieds.

Après avoir construit sa cabane, il ne fut plus le même à la maison. Il commençait à être le petit "rebelle mal élevé" comme sa famille dirait plus tard de lui. Il ne faisait qu'à sa tête, disant toujours non à son père quand il n'avait pas envie de faire ce qu'il voulait. Il arriva même, lors de son 10e anniversaire, que lui et son père se retrouvent confronté, mais alors plus qu'à l'ordinaire. Sans dires tous les détails superflus, son père et lui n'avait jamais été sur la meilleur longueur d'ondes. Mais c'est quand son père avait critiqué son ami Bernd que le jeune Volker avait décidé de partir de cet endroit. Son père avait accusé son meilleur ami de lui avoir insufflé ce caractère de rebelle, que ce jeune garçon était un boulet pour son éducation et Zürich ne se souvient même pas de toutes les autres conneries que son père avait dit. Donc Zürc, remplissant un sac de nourritures, de magasines et de linges, parti vers son refuge, sa bonne vieille cabane qu'il habitat pendant une bonne semaine. Ses amis le voyaient faire, mais n'avait pas posé de questions sur la cause de cette fugue, de toute façon ils n'auraient eu que des mensonges, ils le sentaient bien, car jamais l’ami ne pourrait répéter toutes les stupidités que son père avait dit à propos de Bernd. Dire qu'il existait encore des gens avec une telle mentalité ! Mais après une semaine, n'ayant encore que 10 ans, Friedrich ne pu rester encore dans la cabane de bois. Il devait quand même prendre une douche et sa réserve de nourriture, de cigarettes et de médicaments étaient à sec et il n'avait d'autre choix que de revenir dans le milieu familial. Comme il le souhaitait, son père ne parla plus de ce conflit, mais ces deux hommes ne se reparlèrent plus pendant très longtemps.

Un an plus tard, il reçu sa lettre de Poudlard. Enfin ! Il pourrait quitter cette maison une année entière. Tout excité, il alla dans l'ancienne chambre de sa mère, pièce adjacente à la chambre des maîtres. Johana n'avait que dormi avec son mari dans cette chambre "des maîtres" mais elle avait vécu dans celle qui était adjacente. C'est pourquoi Zürich, voulant se sentir plus près encore de sa mère car celle-ci lui manquait terriblement depuis qu'il était tout petit, s'était coucher sur l'ancien lit moelleux, cherchant un parfum depuis longtemps disparu, pour savourer ce petit moment de bonheur. Il avait l'impression que sa mère habitait encore cette chambre dans laquelle il s’attardait souvent et regardait le plafond, comme s'il regardait le ciel, ou par la fenêtre en rêvassant et c'est donc à partir de ses moments qu'il se découvrit une fascination pour le ciel et l'espace, pour s'imaginer mille et un faux souvenirs avec elle. C'était son passe-temps favori; il s'imaginait des souvenirs avec sa mère, en regardant le ciel, il s'imaginait son visage, son odeur, ses gestes, sa voix. Il s'imaginait ce qu'elle serait en ce moment... Depuis qu'il était tout petit que son ami imaginaire, c'était sa maman. Et donc, étendu sur le lit, il s'endormie, la lettre sur la poitrine, la main sur la lettre. Mais il fit un rêve bizarre. C'était comme s'il se réveillait, dans la même pièce, mais dehors il faisait sombre, alors que quand il s'était endormie c'était le midi. Dans la chambre, une lueur bougeait sur les murs en vagues. Zürich releva la tête et vit une femme assise à son bureau, une chandelle tout près. Se relevant tranquillement, se doutant de qui c'était, le jeune enfant de 11 ans s'approcha du bureau. La femme, c'était sa mère mais elle ne le voyait pas, trop concentrer sur un bouquin dans lequel elle écrivait. Se penchant, Zürich n'eut le temps que de lire la première ligne: "Cher Journal, je le sens remuer, ce petit garçon...". Tout juste quand il lisait ces mots, des bruits se firent entendre dans la chambre d'à côté, la chambre des maîtres. Zürich reconnu le pas caractéristiques de son père. La jeune femme, ayant arrêté d'écrire pour lever son regard vers la porte, se dépêcha de cacher son journal dans un tiroir secret dans le meuble de la cheminée avant que Mark ne fasse irruption dans la salle. C'est à ce moment que le jeune garçon se réveilla brusquement. Le soleil était revenu, il entendait même un oiseau siffler, maudit oiseau de malheur... Berf, Zürich, intrigué, se dirigea au même endroit où il avait vu sa mère, en rêve, cacher le livre. Tout étonné, il découvrit ce tiroir secret en plus du journal. Ouvrant le vieux livre aux pages jaunies, il tomba sur la dernière page manuscrite, le jeune Volker y lu le même commencement. S'assoyant dans un gros fauteuil, il continua sa lecture pour finalement découvrir que sa mère, un peu avant qu'il naisse, avait décidé que son petit garçon s'appellerait Jan, nom qu'elle trouvait simple et beau. Il continua la lecture de tout le journal. Quand il eut fini, il prit une décision. Maintenant, il s'appellerait Jan, en souvenir de sa défunte mère. C'était décider, il serait Jan Friedrich Volker Schmoë.
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MessageSujet: Re: Zürich Volker aka Jan Volker   Zürich Volker aka Jan Volker EmptyMar 11 Aoû - 8:47

Et l'année qui commençait. Au moins il était avec Bernd et Heinrich, mais à son malheur, ceux-ci furent envoyé à Serdaigle et il se retrouve à Serpentard. Mécontent, il l'était avant de voir apparaître son cousin tout près de lui. Un sourire incertain au visage, car cela faisait des années qu’ils ne s’étaient pas parler, Jan alla s'asseoir près de Jens et ils se mirent à parler. Mais comme il avait changé ! Il faut dire qu'à 4 ans et à 11 ans, on ne se ressemble pas, mais Jens avait la même figure, figure que Jan avait dans un cadre dans sa chambre, une photo de toute la famille Schmöe hormis sa mère qui était morte. C'est ainsi qu'il se souvenait de la binette de son cousin. Réjouis qu'au moins il connaissait quelqu'un dans cette maison, les premières années d'école furent simple et sans péripéties. Il vivait, se relaxait, étudiait, faisait des mauvais coups. Loin de sa famille, loin de sa prison Il s'était fait un autre ami d’un an son aîné, Evans Vassili un russe qui était également l'ami de Jens. Grâce à Jens aussi, Jan rencontra Astrea, qui devient une très bonne amie. Il s'amusait avec elle à lancé des objets, souvent dégoutants, sur la tête de ceux qui étudiaient dans la bibliothèque. Oh, mais n'aller pas trop vite, jamais au grand jamais Jan Volker ne se fit prendre. Trop malin, trop rapide, trop angélique pour les professeurs, il réussissait toujours à s'en sortir. Il s'amusait également, dans ses cours de potions, à lancé des ingrédients dans le chaudron de la table d'en avant pour voir le liquide visqueux éclabousser au visage de ses victimes et voir leur chaudron exploser à cause de l'ajout de l'ingrédient et le plaisir malsain à voir le professeur leur foutre un "T" et parfois voir apparaître des furoncles sur le visage de sa victime. Mais malgré les mauvais coups qu'il faisait, ma foi, très régulièrement, Jan restait quelqu'un de bien avec ceux qu'il appréciait. Mais puisque d'être élevé par une famille impitoyable pour les apparences et d'avoir dans son sang, ce vice, ce virus que d'aimer regarder les autres être dans le trouble n'aident en rien son caractère. Pourtant, il trouvait encore le moyen d'être fidèle à ceux qui ont réussit à avoir sa confiance. Il réussissait à ne pas être une vraie peste, mais plutôt un être hostile aux premiers abords qui, a force d'être travaillé, devient une personne plutôt sympathique. Mais n'étant pas bavard de nature, c'est pour cette raison qu'il n'était jamais devenu le plus populaire et c'était très loin de ses objectifs à atteindre. Pour lui, être à Poudlard, c'était être près de ceux qu'il considérait comme sa vraie famille. C'est pourquoi revenir, chaque été chez lui, avait été un enfer. Après des mois de "vie" (enfin!), il se retrouvait coincé avec son père, puisque sa soeur était maintenant mariée et vivait à Frankfurt depuis le début de ses études. Enfin, c'était cela qu'il pensait durant sa première vacance d'été lors de la première année. Comme à chaque année, la famille partait un mois en voyage. La famille... Cela équivalait à son père, lui, Monika parfois, ses grands-parents qui ne se décidaient pas à mourir et d'autres tantes et oncles... dont Jan se foutait royalement. Ce fut donc toute une surprise lorsque, par hasard, il rencontra Astrea en voyage. Bien sûr, tous les deux passèrent leur vacance ensemble, eurent beaucoup de plaisir et leur amitié se fortifia. Jamais au point d'Astrea et Jens, au moment où je vous parle, mais une belle amitié qu'on ne veut perdre pour rien au monde. Astrea, c'était la seule présence féminine dans sa vie. Sa mère, était morte à sa naissance, Monika était une pimbêche d'âne têtu comme son père et à part de cela... Rien. Il n'avait jamais eu aucun contact avec la gente féminine et c'est pourquoi Astrea était un peu comme sa grande soeur, même s'il ne consentait pas encore à le dire.

Et leurs vacances se passèrent ainsi, même jusqu'à aujourd’hui. Entre sa deuxième et troisième année, Jan retrouva encore Astra par hasard au même endroit où il prenait ses vacances. Tous deux enfants de riche, ces destinations étaient toujours fabuleuse, quoi que Jan n'en avait jamais vraiment profité avant d'être avec la princesse grecque. Par contre, l'été d'après sa troisième année, un incident vient bouleverser le milieu de ses vacances. Vers le début Août, il avait reçut un hibou express de la famille Schmöe, il l'avait reçu et non son père car il ne leur parlait plus du tout, pour lui annoncer la nouvelle que sa tante Gretchen venait de décédée. La cause n’ayant pas été mentionnée. Gretchen était la mère de Jens et Jan, même s’il ne ressentait aucune peine pour cette femme qu’il avait connu à peine, devinait à quel point cela devait être dur pour le garçon (enfin, il croyait), lui-même l’ayant perdu... Arrêtant ses vacances, il délaissa Astrea qui pourrait tout de même s’amuser sans lui et décida d'aller voir Jens, de participez aux funérailles et de lui tenir compagnie. Il ne supportait pas l’idée de laisser Schmidt tout seul durant un moment pareil. Lui-même il avait perdu sa mère, mais contrairement à Jens il n'avait jamais pu la connaître, alors que son cousin avait plusieurs souvenirs. Sur ce fait, le jeune garçon ne savait pas si c’était mieux au pire. Enfin, il passa quelques jours pour ensuite être ramener de force par son père de retour de voyage.

Et l’école recommença, toujours comme les autres années. Il réussissait très bien ses cours, et surtout l’Astronomie pour laquelle il avait découvert une passion qu’il gardait secrète. Jamais il ne voulait se faire rire dans la figure parce qu’il aimait regarder les étoiles… C’est pour cette raison que certains soir, au milieu de la nuit il se levait et se dirigeait vers la plus haute tour du château et, accoudé à une fenêtre ou coucher sur le toit, il regardait les étoiles mettant en pratique ce qu’il avait appris. Chacun ses hobbies, non ? Pour certains se sont les sports, pour d’autres la lecture, Jan c’était le ciel à cause de sa mère tout particulièrement. Enfin bref, cela n’est pas le plus important. Retournant à notre objectif principale ; l’histoire de Zürich Friedrich Volker Schmöe.

Durant l’été où il eut 15 ans, tout d’abord un peu avant sa fête le 26 Juillet il y eut le gala annuel de son père pour son travail. Comme à chaque année, il devait y aller avec toute sa famille et montrer à quel point il avait tout; l’argent, l’amour, la famille… la réussite quoi ? Chaque année, Jan s’était résigner a jouer le jeux… Quoi faire d’autre? Mais cette été là, il avait pris une résolution, comme lors de la St-Sylvestre : cette année, il se démarquerait de tous ces complets-cravates par un signe bien particulier, sa cagoule. Et donc, avant de se rendre à la soirée en question, Jan avait revêtu une ample veste blanche-grise avec capuchon que d’ailleurs, il en recouvra sa tête déjà muni d’une casque bicolore. Sous cette veste, il mit un simple chandail noir et en guise de pantalon, il prit d’ample pantalon également couleur de nuit tout cela pour s’agencer avec le noir de son foulard qui faisait en sorte que seul ses yeux et son front paraisse. Rendu auprès de son père, celui-ci l’avait regarder d’un air ahuri. Il ne réussissait pas à croire que son fil osait mettre pareil habit, alors que Mark lui-même, toujours sur son 31, c’était surpassé pour paraître encore plus chic, alors que son idiot de fil ressemblait à un « bum » de la rue. Cela ne tarda pas, sans un mot, seulement par l’effet de cet affront, Mark Volker envoya balader une fantastique gifle sur la joue de l’adolescent. Jamais auparavant il n’avait eu de violence physique de la part de son père. Et cette violence viola net l’estime et l’orgueil de Jan en deux. La main de Mark Volker reprit son élan pour revenir frapper de plein fouet la même joue de Friedrich. Sur ce coup-ci, le père semblait vouloir se défouler, montrer finalement à son fils que c’était LUI le patron, et non un gosse de 14-15 ans. Mark reparti pour une troisième gifle, mais la 4e resta dans les airs, heureusement pour Jan pour qui la joue était déjà en feu. Le sang bouillait dans ses veines. Il le haïssait. Il le détestait. Sa famille avait usé de méchanceté toujours cachée, comme c’était son fort, mais ils n’avaient jamais usurpé l’orgueil énorme du jeune homme et ces claques allait à tout jamais l’éloigner de celui qu’il ne considérait même plus comme son père. Fou de rage, Jan recula de quelques pas, devant la main de son père suspendu dans le temps. Lui lançant le regard le plus perçant et le plus explicite, Jan disait à son père avec l’aide de ses yeux des informations qu’il ne saurait traduire en mot. Bref, après ce court moment sans parole, Jan remonta les escaliers, son père parti pour le gala déclarant son fils malade.

Quand son père se leva la journée d’après, son fils avait disparut de la maison, comme lorsque celui-ci avait 10 ans. Et comme à ce moment-là, Volker ne fit rien, il attendit. Jan avait fuguer, pour une deuxième fois, à sa bonne vielle cabane. Mais cette fois sur un coup de tête. Ni vêtements, ni nourriture, il passa une semaine horrible encore dans le silence comme la première fois. Il restait assit sur son « lit », planches de bois recouvert de couvertures qui lui était assigné, foulard au visage, capuche sur les yeux, un magasine dans les mains ou alors de la musique dans ses écouteurs. Son surnom de Deejay lui venait de la paire d’écouteur qu’il transportait avec lui : de gros écouteurs coûteux couvrant tous les bruits extérieur, comme ceux des DJ professionnel. Avec ça sur les oreilles, Hein et Bernd avait beau crier, il ne comprenait rien. Mais en partant de la maison, Jan avait oublier quelque chose d’essentiel; ses médicaments. Il s’était dit, arriver à la cabane en pleine nuit, qu’il pourrait vivre sans. Ce qui était totalement faux. Les premiers jours passèrent normale. Ne quittant pas sa couche, ses poumons relaxait. Mais au bout d’une semaine, comme lors de ses 10 ans, Jan ne pu rester plus longtemps dans cette maison de bois. Pas parce qu’il avait décider de revenir, mais bien parce que cette journée là, il fit une très grosse crise d’asthme. Les sentiments amères mille fois retournés dans sa tête, le rendant fou de rage, avait déclencher certaines hormones et une réaction en chaîne avait été terminer par cette affreuse crise. Le dos contre le mur, il ne pouvait se coucher ou bouger sans souffrir, sa respiration était sifflante, car il cherchait de l’air désespérément et c’est finalement Heinrich, qui avait courut jusqu’au manoir pour quérir les médicaments, Bernd étant rester avec l’asthmatique au cas et puisque les Volker le détestait, qui avait donner le médicament à un Jan aux yeux clos, moue, qui cherchait encore de l’air mais sans conviction. Sans ce produit pharmaceutique, Jan y aurait rester et cette crise fut définitivement la pire qu’il n’eût jamais eu et après laquelle il se mit à penser aux risques auxquels cette « malédiction » l’exposait. Il ne voulait pas mourir jeune, surtout que même après la mort nous ne sommes pas encore libre, dans un cimetière où tous les cercueils sont alignés sur plusieurs lignes parallèles.

Bien sûr, après cette mésaventure il retourna vivre chez lui. Et peu de temps après, lui et son copain Bernd prenait Hein sur le fait dans cette bonne veille cabane. C’est à ce moment là qu’il dut faire face au fait inévitable qu’est l’amour. Comme dit plus haut, gracieuseté de Hein, car ses meilleurs copains le surprirent dans leur cabane à jouer à saute mouton avec une jeune fille. Hein était quand même de deux ans sont aîné, mais le voir ainsi, il se demandait quand cela serait son tour… et seulement à y penser, Jan devait aussi moue qu’une guenille. L’amour était bien le sujet qui l’effrayait le plus. Surtout l’intimité… Mais il laissa ses peurs de côtés pour partir, quelques jours après cette découverte, vers les Alpes où, par une coïncidence IMMENSE, il rencontra Astrea. La première journée consista à l’installation des bagages, la famille Cassilas étant arrivé quelques jours plus tôt, Astrea restait avec Jan dans son chalet privé, même si elle-même en avait un. La journée d’après, ils allèrent faire une petite descende. Pour sa part, Jan ferait de la planche à neige et Astrea du ski. Avant de partir, il lui avait demander son niveau en ski et elle lui avait répondu qu’elle se rendrait jusqu’en bas. Jan, haussant des épaules, parti sur sa planche, Astrea tout près derrière. Il pouvait faire quelques descendes en ski chaque jour, mai il devait porter un foulard, ce qui le dé paysageait tellement, et arrêter lorsqu’il sentait qu’il avait chaud. Cela prendrait environ 5 descente et après il arrêterait. Habile sur sa planche à neige, il dévalait la peine à grande vitesse quand il remarqua qu’Astrea n’était plus derrière lui. Il ralenti sa vitesse, regardant souvent derrière son épaule. Elle n’apparaissait pas. C’est alors qu’une flèche passa tout près de lui, devant son visage. Astrea avait emprunté une piste de glace plus difficile et, ne trouvant pas le moyen de s’arrêtait, était aller de plus en plus vite jusqu’à finalement terminer sa course folle dans un banc de neige en passant à deux cheveux de bousculer son ami. Voyant la jeune fille tout empêtrer comme elle l’était dans la neige, Jan ria aux éclats comme jamais auparavant. Il se rapprocha de son amie et lui offrit la main pour l’aider à se relever, puisqu’elle avait de la neige jusqu’au coup. Elle lui prit effectivement la main, mais pour l’entraîner avec lui dans la poudreuse qui rentrait si facilement dans les vêtements. C’étant détacher de sa plage quelques instants plus tôt, cela fut quand même toute une histoire de sortir de là. Il renfonçait dans le trou de neige qui semblait sans fond. Jan et Astrea poussait l’autre pour réussir à sortir. Finalement, ils réussirent plusieurs minutes plus tard. Ils était vers la fin de la piste et donc, ils prirent leur ski ou planche en main et descendirent le reste à pied. Rendu en bas, ils prirent le téléphérique qui les ramenèrent au chalet principal. De là, il allèrent à un des chalets privés et restèrent là-bas tout le reste des vacances. Quelques fois, ils prirent le téléphérique simplement pour déconner dans la cabine. Ils flânèrent dans leurs chalets privés et au chalet principal, il passèrent leur temps à relaxer avec une tasse chaude dans les mains ou une bonne bouteille de vodka dont Jan raffolait. Il arriva même un soir, vers la fin des vacances, ou une immense tempête se leva, les bloquant pendant toute la soirée et toute la nuit dans le chalet de Cassilas. Ses parents étant quant à eux coincé au chalet principal avec de nombreux vacanciers pour la plus part moldu. Cette soirée fut mémorable; alcool, bataille de polochons, duel de force, spa…
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Jan Volker
Sixième année
Jan Volker


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MessageSujet: Re: Zürich Volker aka Jan Volker   Zürich Volker aka Jan Volker EmptyMar 11 Aoû - 8:47

Et quelques jours après, l’école recommença. Cette 5e année marqua Jan pour une seule et unique chose. Puisqu’il était rendu maintenant à 15 ans et que Evans, 16 ans, ne trouvant pas sa normal que son ami n’aie jamais rencontrer de filles (alors que lui était un véritable SexSymbol), il décida de lui arranger un petit rendez-vous… hasardeux ! Un peu avant les fêtes, Ian Evanovik alla à Pré-Au-Lard avec Volker qui n’oublia pas son foulard à cause de la température. Comme souvent ils le faisaient ensemble, ils allèrent directement aux Trois-Balais pour boire un petit quelque chose (une vodka pure feu pour Jan, ne pas demander comment il fait pour l’avoir). Mais cette fois-ci, en rentrant dans la taverne qui réchauffaient les joues glacées par les vents du Nord, deux belles créatures étrangères saluèrent Evans et Jan qui quant à lui ne les avait jamais vu de sa vie. C’était deux nouvelles étudiantes de 6e à Poudlard. De très belles femmes aux charmes et aux courbes de leur pays tropicaux… Evans leur renvoya leurs saluts et se dirigea vers elles, au malheur de Jan. Quand même, le petit bonhomme suivit son ami et s’assit en commandant sa boisson. Ils restèrent à la table pendant une bonne heure, Evans n’arrêtais pas de parler avec la brunette alors que la blonde, qui s’était délaissé de leur conversation depuis une bonne vingtaine de minutes, avait porter toute son attention sur Jan et à son foulard qui lui cachait le visage. Elle ne parlait pas très bien l’anglais et Jan ne savait pas quoi dire… donc le silence était installer entre eux, jusqu’à temps où la blonde décida d’entamer la conversation de faits que Jan trouvait complètement futiles. Mais il la laissait parler, de toute façon, il était trop concentrer à boire pour écouter quoi que ce soit de la belle blonde. C’est alors que celle-ci ce leva en prenant le bras de Jan. Celui-ci, qui était tomber dans la contemplation de son troisième verre vide, fut d’abord surpris et n’eut d’autre choix que de la suivre, de toute façon la vodka lui avait monter à la tête ainsi que toute la gêne qui rougissait ses joues et qui flouait ses idées. Suivant comme un petit agneau, il se retrouva dans des toilettes. Des gars ou des filles ? Il ne saurait dire, car la seul chose qu’il se souvenait c’était qu’une fois entrer dans la salle vide, la blonde le plaqua contre le mur et lui embrassa plusieurs fois le coup. Le Serpentard de 5e ne le réalisa pas tout suite. Se frottant de haut en bas, le caressant de ses mains, la fille monta peu à peu sa bouche du coup vers les lèvres. En fait, elle était curieuse de voir ce quel visage il y avait sous cette cagoule. Lorsqu’elle commença à remonter le foulard, Jan se réveilla, la regarda avec des yeux exorbités et essaya de s’enlever de son emprise. Il était petit comparer à elle, et donc réussit à se faufiler... et perdit l’équilibre pour atterrir dans une toilette. La jeune femme, pensant que Jan avait fait cela exprès, s’approcha de lui dans la petite cabine et entreprit de défaire son pantalon. Mais quelle sorte de fille était-elle donc ? Le puceau eu la chienne de sa vie. Rattrapa sa casquette qui glissait de ses cheveux, prenant le devant de ses pantalons à pleine main, il se faufila vers la sorti des toilettes. De là, toujours le foulard sur la figure, heureusement pour lui sinon tout le monde aurait vu que sa figure était rendu une tomate trop mure, il sortit au pas de courses du pub, son gilet à moitié dans et hors du pantalon, une main tenant une casquette de travers et une tenant toujours son pantalon. C’était à l’unanimité la honte de sa vie. Durant tout le reste de l’année, Jan ne parla plus à Evans qui j’espère comprenait pourquoi… Mais bien plus que la honte de sa vie, Jan commença à se demander s’il était normale qu’à son âge on aille jamais eu de petite amie, jamais embrassée ou encore jamais eu de la simple attirance (hormis ceux des MagTetons) pour une fille. Que sa seule « aventure » soit celle qu’il avait vécut aux Trois-Balais… Cette année plus que tout autre il resta silencieux, ne parlant que très rarement à n’importe qui. C’était un puceau (en rapport avec une relation amoureuse et non de sexe), alors qu’Hein et Evans… Était Hein et Evans.

Finalement, l’été arriva. Il se retrouva avec Astrea, quel surprise ! (xD), sur une plage méditerranéenne. Après ses plusieurs mois de silence à l’école, il avait besoin de lâcher son fou. Il décida donc, avec l’aide d’Astrea, que cette été il serait quelqu’un d’autre, car à force de se cacher sous un masque il voulait pour une fois dans son adolescence se montrer au monde, mais à un monde qui ne le connaissait pas. C’est pour cela qu’il n’eut que très peu de gêne à se mettre en maillot pour la première fois, à se faire doré au soleil avec son amie, à s’amuser dans la mer… Mer parfois si capricieuse ! Durant un de ses nombreuses baignades, Jan marcha sur une raie qui lui mordit le pied. Il eut beaucoup de mal à marcher sur ce pied pendant plusieurs jours, jours durant lesquelles Astres ne manquait pas une occasion de rire de sa démarche bouetteuse. Également, la mer lui fit un énorme cadeau. Marchant en compagnie d’Astrea sur un tas de roches qui étaient, au temps de la marée hautes, complètement submergées, une vagues mesquines lui fit perde pied, ce même pied bouetteux, et tomba sur les fesses dans une petite crevasse d’eau… où plusieurs écrevisses avaient élus domicile. Pour se venger, ses écrevisses prirent comme cible les belles fesses de Jan. Se relevant d’un bond, Astra lui fit gentiment remarquer qu’il avait de nouveaux amis. Chose qu’il savait déjà puisque ses nouveaux amies lui faisait mal en chien ! Astrea en bonne samaritaine prit le devoir de toutes les enlever. Ce qu’elle réussit après plusieurs minutes d’efforts et de peau arracher. Trop honteux pour aller voir un médecin, il ne put s’asseoir sur ses fesses durant plusieurs jours… Mais malgré tout cela, il s’amusait comme un fou. Les journées à la plage, les soirées dans les pub à boire, danser (pour la deuxième fois xD)… Il tomba même dans l’œil d’une petite Italienne. Cela aurait pu se résulter en un histoire, mais la jeune femme n’eut pas le temps. Quelques soirées après l’avoir salué pour la première fois, Jan dut partir car ses vacances étaient maintenant terminer…

Peur: Il déteste les animaux en général, les chouettes étant sur la limite. Mais il a peur des chiens, depuis que son chien de compagnie, un berger allemand, lui a sauté à la gorge lorsqu’il était jeune.

Fonction : Étudiant

Autre
Animal: Aucun, dans le pire des cas, il utilise la chouette de la famille.
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