Wizard's life
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 Jeremy Sawyers

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AuteurMessage
Jeremy Sawyers




Nombre de messages : 259
Maison / Métier : Serpentard / Poursuiveur / Mangemort
Date d'Anniversaire / Âge : 13 octobbre
Date d'inscription : 24/06/2005

Jeremy Sawyers Empty
MessageSujet: Jeremy Sawyers   Jeremy Sawyers EmptyMer 19 Aoû - 7:25

Jeremy Sawyers
One major pain in the ass


Informations personnelles
.

Jeremy Sawyers Incubus-incubus-535574_100_100
    Nom : Sawyers.
    Prénom : Jeremy Walt.
    Surnom : À vous de choisir.
    Âge : 18 ans.
    Date de Naissance : 5 octobre.
    Orientation sexuelle : Hétérosexuelle.
    Sang : Sang-Pur.
    Lieu de provenance : Londres, Angleterre.
    Relation : Jeremy a pour famille – un peu étrange – un petit frère de huit ans son cadet du nom de Damian, un père soumis nommé Nelson et une mère au caractère bien trempé portant le prénom Katrina. Aux fils des ans et à force de fréquenter la plupart des mêmes personnes, Sawyers s’est lié d’une amitié douteuse – qui a bien faillit, en quelque sorte, lui coûter la vie – avec Viktor McCartney. Bien sur, il traîne également avec d’autres Serpentards, comme Leïla Johnson ou alors quelques autres bouche-trous pas trop ennuyeux.

Informations académiques
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Maison : Serpentard.
Niveau Scolaire : Septième année.
Cours préféré : Défense contre les forces du mal.
Baguette : 36 centimètres | bois de tilleul | Colonne vertébrale de fée.

Caractéristiques
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Physique :

Caractère :

Ce qu’il aime :
Ce qu’il n’aime pas :

Histoire : L’hiver se faisait long, le ciel s’obstinait à rester gris et les Londoniens s’entassaient dans les couloirs complexes du métro de la capitale de l’Angleterre. Une grande femme extrêmement belle à l’allure plus que respectable faisait claquer les talons de ses chaussures griffées sur le sol pavé, dévisageant tous les passants de son air supérieur de sorcier pur-sang. Sa simple stature imposait l’obéissance à quiconque, à l’exception de l’enfant qui la suivait, cacher sous une pile de vêtements d’hivers typiquement moldu. La femme et l’enfant coupèrent quelques passants pour entrer dans l’un des wagons de la station Kennington. Un homme, levant les yeux de son journal, remarqua la femme d’une beauté étonnante et fut automatiquement attiré vers elle. Merde… Elle avait un enfant ? Il allait alors ce la jouer le type aimant les gamins… Oui, il les aimait, de loin, et pas à lui. L’enfant, à peine âgé de six ans, s’assied aux côtés de la femme et fixa droit dans les yeux un voyageur qui, curieux, ne cessait de les regarder. Contrairement aux autres enfants de son âge qui, par gêne, aurait détourné les yeux, les iris bruns chocolat allèrent fixer le visage du voyageur. Le voyageur ressemblait en tout point à un humain ordinaire, certes, sauf que pour l’enfant et la femme, cet homme était plus qu’ordinaire à la limite du banal même, mais la grimace de dégoût que l’enfant eu avant de détourner son regard vers la fenêtre choqua le passager.

L’homme se leva et alla prendre place sur le siège libre devant le duo à l’allure si arrogante. Il scruta une nouvelle fois leurs deux visages, essayant de découvrir pourquoi ils généraient autant d’hostilité envers lui. Déçu, l’homme ne vit rien d’autre que les traits fins et durs de – ce qui semblait être puisque les deux semblaient avoir quelques points physiologiques similaires – la mère et son fils. Le fils, contrairement à la mère, sourit lorsque l’homme prit place en face de lui. Ce sourire, il ne ressemblait en rien à ce qu’un enfant aurait pu offrir à un inconnu. Non, il s’agissait d’un sourire à l’allure cruelle, voir même carrément sadique. Le passager – que nous allons nommer Greg Richardson pour l’occasion – se surprit à être légèrement intimidé par les comportements atypiques de l’enfant. Et il avait raison de l’être. Greg prit la peine de toussoter – il se trouvait tellement imbécile d’avoir pu ressentir de l’inconfort face au garçon et ce tic lui permettait de gagner quelques secondes pour prendre ses esprits – avant d’adresser la parole au garçonnet qui aurait très bien pu participer à un film d’horreur, mis-à-part son teint hâlé.

« Je peux te poser une question, petit ? » L’enfant n’eut aucune réaction, ni la femme d’ailleurs. Étranges, ils devenaient de plus en plus étranges. « Écoutes, gam - »

« Dégoutant : une erreur de la nature... Je n’ai pas de conseil à prendre de toi, sale moldu. Eurk. Éloignes toi de moi. » Le garçonnet fit un signe de la main à Greg, ce qui signifiait carrément qu’il pouvait disposer, tel un serviteur. La femme baissa ses yeux noirs sur le petit garçon en esquissant un mince sourire, tout aussi inquiétant que celui de son fils. « Allez. Ouste. » Renchérit l’enfant. Outré, Greg se leva, surplombant aisément la petite famille, avant de reprendre la parole. Oh si, il allait dire carrément à ce petit impertinent comment on devait parler aux étrangers ! « Si j’étais toi petite merd - » Une nouvelle fois, Richardson se fit couper, mais cette fois-ci, par la voix duveteuse de la femme.

« Immondice, éloignes toi de nous. » Scandale. C’était carrément un scandale. Frustré d’avoir raté son entré en jeu – surtout humilié de n’avoir pu répondre à un gamin – Greg Richardson s’éclipsa au fond du wagon, complètement à l’opposé des deux voyageurs méprisables qui riaient effrontément de la situation. « C’est exactement ce qu’il faut faire avec ses ordures de moldus, Jeremy : Les écartés avant que leur stupidité nous infecte. » Le garçon, maintenant nommé Jeremy, hocha fièrement la tête avant de retourner son regard vers la fenêtre à côté de lui. À bats ses moldus et leurs moyens de transports trop lent… La gare de King Cross était encore bien trop loin…
___

« Jeremy, je serai dans l’obligation de prendre contacte avec votre père, monsieur Sawy - » Christian Delacroix, français d’origine maintenant tuteur à Londres, arqua un sourcil et arrêta de parler sans même avoir terminé son mot. Son étudiant, maintenant âgé de quinze ans, avait éclaté d’un rire si froid – s’apparentant d’ailleurs à celui de la femme de monsieur Nelson – qu’il en donna un frisson d’horreur à l’adulte. Posant sa plume d’un geste qui voulait traduire l’agacement du maître, Delacroix fixa l’irrespectueux qui se marrait encore. « Jeune homme, qui a-t-il d’amusant? J’en ferai rapport à votre père. » S’appuyant contre le dossier de son fauteuil blanc tout en essuyant ses mains tâchées se fusains sur le tissu du meuble, le sorcier aux yeux noisette gardait continua de rire avant de finalement réussir à reprendre contrôle de lui. « Premièrement, môssieu, c’est Nelson Allerdyce et non Sawyers. Jamais je ne voudrai porter le nom d’un homme aussi faible que lui. Déjà qu’il faut que je possède ses gènes, je n’ai pas envie d’en plus, devoir m’afficher en tant que son fils aîné. J’aurais crut que tu étais au courant, moldu. » Jeremy s’amusait souvent à reprendre l’accent de son professeur qui jusqu’à aujourd’hui ne lui avait posé aucun problème, mis à part le fait qu’il était moldu. De toute façon, peu de sorciers étaient aussi artistiques que les moldus, à l’avis de l’adolescent du moins. C’était d’ailleurs la seule raison pour laquelle Sawyers avait accepté d’en fréquenter un aussi souvent durant les mois d’été.

Choqué, Christian se leva et pointa la porte à son élève. « Dehors, je vous pris. » Haussant les épaules, le sorcier se leva, contourna le fauteuil en laissant traîner l’une de ses mains toujours tâchées contre le tissu et quitta la pièce en affichant un air soulagé. Enfin, plus besoin de revenir ici pour les trois dernières semaines de vacances qui lui restait. Un mal pour un bien? Non, aucunement. Être si proche d’un moldu lui donnait carrément des haut-le-cœur bien trop fréquemment. À peine fit-il quelques pas dans les rues de Londres – sa très chère ville – qu’il se sentait déjà mieux. L’odeur pestilentielle que ce français – et moldu de surcroit – dégageait lui avait, au départ, occasionnée de véritables vomissements qu’il réussissait mal à contenir. Maintenant, à l’air libre ou se mêlait pollution et oxygène, il était clair que le sorcier se sentait mieux : son teint avait reprit ses couleurs habituelles, ses yeux semblaient à l’affut de quelconque évènement et – bien entendu – son air supérieur qu’il affichait toutes les fois qu’il était à l’extérieur était reparut. Esquivant quelques moldus bien aisément, Jeremy piqua au travers de la rue et s’engouffra dans une ruelle peu fréquentée que lui fréquentait souvent, trop souvent.

Comme il s’en attendait, son cousin – de cinq ans son aîné – transplana à ses côtés et lui tandis le bras sans plus de manières. « Notre Seigneur veux te voir. Tout de suite. » Un mélange d’inquiétude et d’hésitation s’amusèrent à tordre l’estomac de Jeremy : il exécrait transplaner. N’ayant le contrôle sur rien, cette pratique magique était bien la seule qui inspirait encore le doute et l’appréhension d’une sensation plus que désagréable. « Allez. Magnes-toi, j’ai pas que ça à faire. » D’un mouvement sec accompagné d’un regard noir, Sawyers prit le bras de son cousin en fermant les yeux, souhaitant que ce simple petit truc allait l’aider à ne pas gerber lorsqu’ils allaient arriver à bon port. Ce qui veut dire devant le Seigneur-de-qui-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom. Il n’arrivait pas à le croire que se déplacer de la sorte pouvait le mettre si mal à l’aise, voir, le faire carrément vomir. Jamais il ne saurait comment remercier son cousin, mais celui-ci transplana derrière le Seigneur des ténèbres, ce qui permit à Jeremy de s’écarter en courant pour aller vider son estomac qui ne demandait rien de mieux dans un petit buisson pas trop loin. Se relevant avec le peu de dignité qui lui restait, Sawyers essuya sa bouche avec le revers de la manche de son chandail et s’avança vers le groupe qui semblait s’amuser de sa situation. Il était clair qu’il les emmerdait tous.

Il resta droit, malgré la faiblesse que l’on ressent lorsqu’on se vide ainsi, devant son Seigneur qui semblait douter de ses capacités – effectivement, dût au vomissement après transplanage. Peut-être ses yeux affichaient-ils toute la résistance que le jeune homme était capable d’encaisser puisque le Maître crut bon ne pas en parler. « Serait-il vrai que vous ayez côtoyé un certain moldu d’origines française nommé Christian Delacroix ? » Avant même que Jeremy n’ait pu dire le moindre mot, Il fit un léger signe de la main pour le faire taire et continua : « Cet homme est une véritable nuisance. Katrina Sawyers m’a affirmé que vous surveillez cet homme et que, maintenant, il vous serait aisé de vous débarrassez de lui sans éveiller les soupçons des nos frères et de la faible communauté moldu. Si vous réussissez, j’accepterai de vous accueillir parmi mes nombreux fidèles, Jeremy Sawyers. » Hochant le menton, le jeune homme comprit ce qu’il allait devoir faire pour finalement devenir officiellement un mangemort du Seigneur des ténèbres comme toute sa famille avant lui. Il était étrange qu’un adolescent de son âge croie aussi fort en une idéologie si brutale. Mais est-ce vraiment la première fois ou plusieurs hommes et femmes deviennent partisans d’une Utopie qui réclame l’annihilation d’une race ? Non, aucunement. Alors pourquoi ne pas en faire autant ? Surtout que Jeremy y croyait dur comme fer.
___


Peur :
Fonction : Élève

Autres
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Avatar : Brandon Boyd
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Jeremy Sawyers
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