Julian W. Schrödinger

Informations personnelles

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Nom : Schrödinger Prénom : Julian Wolfgang Surnom : Julian, W, The Wolf, The J Âge : 17 ans Date de Naissance : 14 février Orientation sexuelle : Hétérosexuel Sang: Sang mêlé Lieu de provenance : Vienne en Autriche Relation : Autrefois, il entretenait une très belle relation avec sa mère ainsi qu'avec son père, mais depuis la mort de celle-ci, plus rien n'est pareil, tout comme avec sa soeur jumelle, Gretchen, avec qui il partage un lien que lui même n'arrive pas à comprendre.

Informations académiques

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Maison: Gryffondor
Niveau Scolaire: Septième année
Cours préféré : Métamorphose
Baguette :

36 cm, bois d’oranger, écaille de dragon.

Caractéristiques

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Physique : Assez grand et mince, Julian possède la carrure d'un sportif type de haut niveau. Ces traits fins et délicats lui donne l'air du stéréotype du gentil garçon, mais par contre, ce sont dans ces yeux d'un bleus éclatants que l'on peut voir qu'il est destiné à bien plus que celà. Un petit sourire en coin trône toujours sur ces lèvres, tandis que ces cheveux bruns foncés sont souvent légèrement en bataille sur sa tête. En plus d'être beau garçon, il a cet expression au visage qui le rend si attachant. Cet expression qui fait que sans même le connaître, que l'on sait qu'on peut lui faire confiance. Il semble toujours perdue dans ses pensés, comme si il cachait quelque chose d'important. Niveau vestimentaire, Julian est assez sobre, portant habituellement de simple jeans ainsi qu'une chemise ou un chandail, souvent dans les tons de bleus ou de rouges. Très sobre, à vrai dire. De plus, il porte quasiment en permanence une genouillère, suite à son accident et à son opération au genou. C'est d'ailleurs pour cette raison qu'il porte constament des pantalons longs. Puisqu'il était bien parti dans ses secrets, pourquoi ne pas continuer et cacher qu'il ne pouvait plus faire de sport ? Enfin, vestige de sa transformation, il a trois cicatrices sur l'homoplate droite qui rappellent très bien les traces de griffures d'un animal sauvage.

Caractère : Même avant sa transformation, Julian partageait beaucoup de traits de caractère avec les loups. Très protecteur envers les siens, il ne se déplace jamais seul, préférant l'effet de meute puisque se retrouver seul avec lui-même l'effraie. Aussi, il s'adapte très bien, habituellement, à toutes situations, malgré le fait que les gros changements le dérangent. De nature persévérante et fonceuse, il a l'habitude de réussir tout ce qu'il entreprent. Il est ce genre de personne qui semble avoir tout les talents sans devoir donner le moindre effort, comme si c'était tout naturel. Atteindre la perfection était autrefois son obsession, mais depuis peu, cette recherche continuelle semble moins forte chez lui. De nature joviale, il est ouvert et à l'écoute d'autrui, malgré qu'il met souvent les gens de coté lorsqu'il est déterminé à quelque chose. En effet, ce besoin d'être toujours le meilleur dans tout ce qu'il entreprend lui fait chercher la compétition. Arrogant sur les bords, le fils Schrödinger reste un être apprécié auprès des gens. Par contre, ils ignorent qu'il n'est pas seul dans son corps. En effet, depuis sa transformation, un loup semble habiter ces pensés. Très aggressif lorsqu'il laisse la bête prendre le dessus, la froideur et la distance remplacent ces traits de personnalités ordinaires. C'est lors de ces moments que l'on peut distinguer très nettement l'animal qui l'habite et qui le contrôle.

Ce qu’il aime : En premier lieu sa famille, mais plus particulièrement sa sœur ainsi que sa mère. Il y a aussi le sport, malgré qu’il n’occupe plus la partie la plus importante de sa vie à présent. Il apprécit malgré tout de regarder un match de foot à la télévision, quitte à ne plus en jouer, au moins, il peut regarder. De plus, l'alcool est une de ces bonnes vieilles amies depuis quelques temps.
Ce qu’il n’aime pas : Loin de porter son père dans son coeur depuis un petit bout de temps, Julian prend tout de même sur lui-même pour lui démontrer le tant soit peu de respect qu'il peut. Les secrets qui entourent la famille, à présent, sont aussi loin de lui plaire. Il aurait simplement voulu pouvoir parler de certaines choses, afin de mieux pouvoir les accepter, mais ce n'est pas comme ça que Juri voit les choses. De plus, Julian se considère comme étant un monstre.

Histoire: « Mais Gretchen, elle est belle, elle, papa ! »

Déclarait le jeune Julian pour la millionième à son père pour que ce dernier autorise sa sœur jumelle à faire plus que ce que les autres femmes ne pouvaient pas faire. Pour faire tout ce que lui-même faisait, à vrai dire. Et comme si son argument était le plus convainquant au monde, il plantait ses iris dans ceux de son père sans que la discipline de celui-ci ne fléchisse jamais. Après tout, pour le fils Schrödinger, Gretchen était, mis à part leur mère, la personne de sexe féminin la plus spécial au monde, et cela avait toujours été ainsi. Alors pourquoi était-elle aussi restrainte ? Même avec les années qui passaient, il ne parvenait pas à comprendre. Il ne parvenait pas à comprendre, non plus, que son père exigeait d’eux la perfection elle-même. Chose dont Julian devint lui-même obsedé. Il voulait seulement rendre Juri fier. Un simple ‘’Bien joué fiston’’ aurait suffit, mais jamais il ne venait. Très brillant à l’école, il arrivait toujours à ramener de bonnes notes, en plus de s’impliquer dans plusieurs équipes sportives. Le sport devint, à un certain moment, une sorte de drogue pour lui. Il aurait pu courire derrière un ballon tout sa vie, c’était aussi simple que ça. C’est même durant sa sixième année à Poudlard qu’il s’était fait remarqué pour devenir joueur de foot professionnel. Il y avait aussi le quidditch, qui le passionnait, sport qu’il pratiquait depuis sa quatrième année d’étude dans l’équipe de sa maison.

En parlant de Poudlard, il quitta, comme tout bon sorcier, la maison familiale pour se rendre à cette école avec sa jumelle à l’âge de onze ans. La transition fut au départ difficile, mais la seule présence de Gretchen lui suffit à passer au travers. Bien sure, ils se firent des amis chacuns de leurs cotés, mais leur relation restait toujours la même. Et pour Julian, elle était toujours la plus spéciale de toutes les personnes qu’il cotoyait. Et alors que les années se succédaient, cela restait toujours ainsi pour lui. Bien sûre, et ce particulièrement lors des vacances d’été, il aimait ramener certaines filles à la maison. C’était surtout, à vrai dire, pour attirer la fierté de son père. Étant plutôt attirant et populaire auprès de la gente féminine, il en avait profiter pour faire plus ample connaissance avec certaines jeunes femmes, se disant qu’ainsi, il pourrait trouver la bonne pour lui. Après tout, c’était normal qu’il veuille épouser Gretchen lorsqu’ils avaient 4 ans, mais toujours trouvé que sa jumelle était la plus belle femme qu’il n’avait jamais vu à 17 ans, c’était moins conventionnel, disons.

Malgré tout, tout se passait plutôt bien pour lui. Par contre, ce fut lorsque la mère des jumeaux tomba malade que le tout se corsa. En effet, lorsqu’elle les quitta, ce fut comme si un ouragan avait passé dans son cœur. En plus de son père qui devenait, jour après jour, un homme de plus en plus aigri. Heureusement, il lui restait toujours le soleil de ces nuits, avec qui il passait la nuit dehors afin de tenter d’oublier la réalité des choses, du moins un peu. La sobriété était loin de faire partie de leur vie à ce moment, il faut dire. C’est lors d’un de ses soirs de fête que quelque chose changea du tout au tout en lui, bien qu’il ne voulut pas se l’avouer. Pour une raison dont il n’arrive même pas à se rappeler à ce jour, il s’était pencé vers la jeune femme pour l’embrasser sur la joue, tout simplement. Mais le tout c’était complexé lorsqu’elle avait tournée la tête vers lui et que, pour une raison qui lui échappait aussi, il n’avait pas arrêter son geste et avait déposer ses lèvres sur les siennes. Lorsque le fils Schrödinger s’était séparer d’elle, il était simplement resté surpris devant elle. L’effet qui lui avait parcourut l’échine l’avait effrayer, pour être franc. Après tout, Gretchen était sa sœur, point. Sa sœur jumelle, même ! Mais ce sentiments, bien qu’il avait tenter de faire comme s’il n’existait pas, lui était resté en tête jusqu’au jour où le tout éclata au grand jour. C'est-à-dire lorsque leur père fut mis au courant par une photo. Bien entendu, le blâme tomba sur la jeune femme, alors que Julian restait impuissant à coté, n’osant pas affronter son père. Fermant les yeux avec douleur lorsqu’il vit la main de Juri atterir avec violence sur la joue de sa fille, il serra les dents. Puis tout se déroula très rapidement. Elle déclara qu’elle partait, aussi simple que cela puisse parraître.

Il aurait voulut lui dire de rester, parce qu’elle était le monde pour lui, ou même qu’il allait partir avec elle. Loin de Juri, ils pourraient enfin être qui ils voulaient. Mais Julian ne dit rien de tout ça, la voyant passer devant lui sans aucun regard. Son cœur se serra doucement, prenant cela pour un rejet. C’était évident, si Gretchen tenait véritablement à lui, elle lui aurait dit de venir, ou du moins, lui aurait simplement adresser un mot, une regard… mais rien. Il venait tout simplement de perdre les deux femmes de sa vie. D’abord sa mère, et désormais Gretchen. La porte claqua alors. Porte qui ne revut jamais la jeune femme passer son seuil. Ce fut comme si un brouillard s’était installé dans son cerveau, alors qu’il perdait totalement le contrôle de lui. Le saisissant tout à coup au collet, Julian ne semblait plus se ressembler. Prenant peur de ce que son fils pourrait lui faire, ce dernier étant déjà plus grand et plus bâti que lui, Juri lui asséna un solide coup de poing à la machoire, le faisant tomber à la renverse. Wolfgang attérit dirrectement sur la table basse. À vrai dire, ce fut son genou qui entra durement en contact avec le bois, brisant la table au passage. Hurlant tout à coup, il oublia tout ce qui put se passer après, jusqu’au moment où un médecin moldu lui avait demander comment c’était déroulé l’opération. Complètement confus, ce fut à cet instant qu’il compris que sa chute avait sectionné certains tendons dans son genou, ruinant ainsi toute chance de faire carrière dans le sport. Et il avait simplement regarder son père, sans aucunes expressions. C’est à partir de la que sa crise identitaire commença. S’il n’était pas un sportif, qu’était-il ? Le tout se compliqua d’avantage lorsque, après deux semaines, Juri avait rapporter une femme à la maison, déclarant à son fils qu’elle était sa fiancé. Une femme seulement bonne à faire le ménage et à lui donner les enfants qu’il voulait, en fait. Ce fut la goute qui fit débordé le vase. Suivant l’exemple de Gretchen, il partit de la maison, espérant la retrouver par le fait même.

Julian se mit alors à marcher, longtemps, sans se rendre compte d’où il allait. Tout se qu’il savait, c’est qu’à chaque jeune femme aux cheveux noirs qu’il croisait, son cœur se serrait doucement avec l’espoir d’avoir retrouver Gretchen. Mais à chaque fois, c’était un faux espoir. Il avait finalement débouché dans une forêt, alors que la pleine lune éclairait le petit sentier sous ses pas. Entendant soudainement des bruits près de lui, il se mit à avancer plus vite. Mais c’était déjà trop tard. Un énorme loup se dressa alors devant lui, et avant même qu’il ne comprenne, il avait été mordu. Une des pattes de l’animal s’enfonçait durement dans son dos alors que des cris résonnaient au loin. Saignant beaucoup, il crut sa dernière heure arriver. Puis, avant qu’il ne perde connaissance, il entendu l’animal hurler, avant qu’un petit groupe d’hommes ne se penchent vers lui avant que ce dernier ne parte dans les vapes. Les auros le sauvèrent, ce jour-là, mais l’effet était tout de même là; il avait désormais la malédiction. Désormais classé Loup-garou, sa vie changea du tout au tout. Son père vint le retrouver à Ste-Mangouste, dépensant beaucoup d’argent afin de trouver une potion à son fils qui limiterait les transformations, pour le moins. Docile, il retourna sous le toit paternel pour les quelques semaines le séparant de son entré à Poudlard. Mais reste qu’à partir de ce jour, il lui sembla ne plus être seul dans son corps. En effet, Julian sentait très nettement cette présence qui le poussait à laisser sortir l’animal alors prisonnier en lui. Gardant le secret sur ‘’l’incident’’ comme son père le souhaitait, il retourna enfin à l’école pour entamer sa dernière année, Gretchen ne quittant toujours pas ces pensés.

Peur: La solitude ainsi que la pleine lune.
Fonction : Étudiant / poursuiveur dans l’équipe de quidditch de Gryffondor

Autres

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Avatar :Adam Gregory
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